As perguntas que nos fazemos sobre uma sociedade sem dinheiro.
Para começar, nem sempre é fácil de se ter uma ideia de uma sociedade sem dinheiro. Na verdade, é difícil questionar este sistema, tanto o dinheiro está presente em nossas sociedades há muito tempo.
No entanto, esta mudança é a chave para uma evolução da nossa civilização, e necessária perante os desafios atuais do planeta.
Por outro lado, não será um mundo perfeito e muitos ajustes terão que ser decididos juntos. Por outro lado, regula os grandes temas da atualidade, ao mesmo tempo que abre novos horizontes de forma mais saudável.
Por fim, aqui você encontrará respostas para as perguntas mais comuns sobre uma sociedade sem dinheiro.
Em seguida, deve-se destacar que o Grande Projeto é aberto e participativo. Em conseqüência , algumas respostas terão que ser decididas em conjunto. Com efeito, o Grande Projeto propõe um sistema onde os potenciais humanos podem ser expressos livremente. Consequentemente, uma estrutura estrita e formal não pode ser imposta em troca.
Para terminar, se sua pergunta não for respondida nestas linhas, escreva para nós .
En tant que finalité, nous émettons beaucoup de réserves sur les monnaies libres, comme la June.
À l’état embryonnaire, comme aujourd’hui, les monnaies libres ne posent pas vraiment de problèmes. Mais si elles venaient à se généraliser, elles développeraient très certainement la plupart des dérives que nous connaissons.
Par exemple, la guerre commerciale. Le maraîcher qui se fait payer en June trouve ça super jusqu’au jour où il y en aura un second, puis une troisième dans la même commune. On se divise le marché, on doit battre les autres, faire des prix plus compétitifs, ce qui passe souvent par de la moins bonne qualité. etc. Répandu, on revient dans les mêmes travers, schémas de séparation, d’opposition, de renforcement de l’individualisme.
On sera toujours plus gagnant d’accumuler cette monnaie que d’en être démuni. Les commerces en monnaie libre invitent toujours à pousser à la consommation plutôt qu’à la ralentir. Les entreprises auront toujours des frais (locaux, énergies, fournisseurs etc…) et devront toujours faire face à une pression financière, à l’obligation de faire des bénéfices et trouver les moyens de faire consommer les clients en permanence. Pourquoi arrêteraient-elles de faire de l’obsolescence programmée comme aujourd’hui ? De nous envahir de publicités ? Pourquoi cela serait meilleur pour notre écosystème ?
Selon le mode d’emploi des monnaies libres, même sans entrer dans la toile de confiance n’importe qui peut ouvrir un portefeuille, donc si les entreprises des milliardaires passaient aux monnaies libres, il y aurait une pyramide de richesses similaires à aujourd’hui.
La monnaie libre se réévaluent à la baisse de 4,88% tous les 6 mois, ce qui en fait la première monnaie qui incitera à être consommée d’elle-même. Si cela est bon pour l’économie ça ne l’est probablement pas pour l’environnement.
La création de monnaies libres ne fait pas de dettes, mais que faire de celles en cours (300 000 milliards de dollars) ?
Aussi, la création de la monnaie ne se fait pas par la dette mais par le nombre d’adhérents, suivant un dividende universel. Comment faire en cas de nécessité d’une grosse somme ? (achat d’un bien immobilier, une voiture, de soins coûteux ). A priori 2 options : ou bien on ne pourra pas, ou bien les membres qui auraient suffisamment accumulé de monnaies libres les prêteront. Bien que personne ne peut l’affirmer ou l’infirmer, il nous paraît peu probable qu’ils le fassent sans conditions ni taux d’intérêt.
En cas de pénuries, les prix flambent puisque les prix ne sont pas fixés. Seuls ceux qui en ont suffisamment accumulés, ou les premiers arrivés sur les marchés pourront y avoir accès. Le partage paraît ici peu probable.
Concernant le comportement humain il se modifie inconsciemment vers l’individualisme, la perte des valeurs éthiques et morales quand nous sommes au contact avec l’argent (que nous en ayons peu, suffisamment, ou beaucoup) ou que nous y pensons, études scientifiques à l’appui https://youtu.be/iH-M1sHlwz4.
En revanche, beaucoup de partisans des monnaies libres voient en elles une étape de transition pour le monde non marchand. Nous pensons que tout ce que l’on peut vendre en monnaie libre aujourd’hui pourrait aussi se donner et être partagé afin de préparer cette nouvelle société. Il revient à chacun de sentir le chemin qui lui paraît le plus opportun.
Enfin, les monnaies libres ou autres systèmes monétaires comme le troc, les SEL etc. sont basés sur la notion d’échange (je te donne mais j’attends un retour en contrepartie). Or le système d’échange est exactement le responsable des dérives actuelles du système et favorise l’individualisme. Pour résoudre ces problématiques, nous devons nous libérer de l’échange et nourrir l’opposée : le partage et la gratuité.
Aujourd’hui le terme décroissance devient de plus en plus commun. En effet, la performance d’un système marchand repose sur la croissance, les ventes et le profit. Ce système, couplé à la mondialisation, créé immanquablement l’épuisement des ressources. Or, on se rend compte que la croissance infinie dans un monde fini n’est pas possible.
Ce leurre, qui est la base du modèle de société actuel, montre ses limites. Du coup, les dirigeants expliquent qu’il va falloir penser au pire. Ce qui veut dire diminuer son niveau de vie. Ce qui est plutôt amer pour tout le monde.
Le modèle non marchand du Grand Projet, n’est pas basé sur la croissance ou les bénéfices pour vivre. De plus, il peut allier durabilité, connaissance, modernité et stabilité, tout en préservant le confort.
Enfin, dans la société de demain, nous changerons nos modes de vie pour nous adapter au nouveau contexte. Ce qui est complètement différent de devoir décroître. Ainsi, avec un mode de vie sobre, cohérent et harmonieux, il n’y a pas de sentiment de frustration, mais plutôt de raison.
Pour commencer, le retour du troc est souvent évoqué. Pourtant, il s’agit d’un système d’échange suivant une valorisation arbitraire des biens et des prestations. D’ailleurs, c’est l’embryon même du système monétaire. De ce fait, il s’agit d’un système d’organisation laborieux si notre moyen d’échange n’est pas disponible immédiatement. Se fera alors ressentir le besoin de remettre un intermédiaire : l’argent.
Il existe une organisation qui est, à de nombreux niveaux, plus simple, efficace et fluide, le tout sans dérives monétaires. En effet, en suivant les 4 principes du Grand Projet du MOCICA, les avantages sont pour tous.
D’abord, chacun exercera sa vocation et chacun pourra bénéficier des autres talents lorsqu’il en aura besoin.
De plus, un système d’organisation basé sur la mise à disposition de soi, et non plus sur l’argent, sera hautement bénéfique. De ce fait, il améliorera considérablement nos rapports les uns aux autres.
Enfin, s’accrocher aux quantités d’échanges identiques (subjectives et arbitraires) paraît peut-être plus « juste » sur le plan de l’ego. Pourtant, c’est aussi la source d’une organisation laborieuse et de nombreuses pertes inutiles.
D’autre part, le retour du troc ne résout pas les nombreux problèmes auxquels il faut faire face (inégalités sociales, dégradation de l’environnement, etc.).
La fin de l’argent est le début d’une autre gestion dans laquelle nous tenons une comptabilité :
- Des ressources disponibles (renouvelables/non renouvelables)
- De notre impact environnemental
- Des besoins (fondamentaux/secondaires)
- De l’activité : quelles sont nos compétences ? Répartition de l’activité ?
- De la productivité, des stocks et de leur répartition
Sans argent ne veut pas dire sans gestion. Il n’y a que la notion d’argent qui est retirée de l’équation. La gestion reste la même lorsqu’il s’agit de déterminer par exemple les flux alimentaires.
La logistique des flux des ressources ne suivra plus la logique marchande. La réorganisation sera de fait plus locale, simple et écologique. En effet, certains pays n’auront plus recours à la délocalisation pour bénéficier d’une main d’œuvre bon marché lointaine. De la même manière, nous ne ferons plus appel à des ressources de l’autre bout du monde parce qu’elles étaient les plus compétitives du marché. La fin de la logique marchande redessine naturellement la carte des flux vers une importante relocalisation.
Celle-ci doit être prioritaire pour favoriser l’autonomie et l’écologie, tout en continuant à s’approvisionner des ressources lointaines quand celles-ci sont indispensables. Nous devrons donc redéfinir ensemble les besoins : qu’est ce qui est essentiel, secondaire ou superflu ? Si des ressources lointaines sont souhaitées ou nécessaires, les axes de transport et distribution sont déjà en place. Nos ingénieurs et entreprises de transports ne seront plus en concurrence et pourrons rassembler leurs compétences et connaissances pour optimiser encore plus les flux. Pour finir, nos logiciels de pointe pourrons redéfinir les flux les plus optimaux et réduire l’activité humaine (et donc la pénibilité) par la même occasion (2).
Le système monétaire international :
Pour comprendre s’il est nécessaire de remplacer l’actuel système monétaire international par un autre, analysons leur fonctionnement.
D’un côté, un système monétaire international est l’ensemble des règles, mécanismes et acteurs, visant à organiser et à contrôler les échanges de capitaux entre pays. Mais de l’autre, il s’agit d’un système ayant des “trous noirs”.
Les trous noirs du système monétaire international :
En effet, la surveillance bancaire et financière internationale trouve ses limites dans un certain nombre de ” trous noirs “. De ce fait, les organisations internationales et les régulateurs n’y ont pas accès. On peut classer ces trous noirs en deux catégories : les trous noirs géographiques et politiques.
Ce sont, d’une part, les Etats souverains où sévit la corruption et d’autre part, les places off-shore, terrains privilégiés de l’évasion fiscale et du blanchiment. Ou bien il n’existe pas localement d’organismes de surveillance de marché ou bancaire, ce qui est souvent le cas des paradis fiscaux. Ou bien encore, ces organismes existent, mais ne coopèrent pas ou sont inaptes à enrayer des fraudes massives. c’est par exemple le cas dans les Etats où règne la corruption.
Pour finir, il est nécessaire également de comprendre le principe du système monétaire international.
Le principe des systèmes monétaires :
Tous les systèmes monétaires que nous pouvons imaginer ont le même principe fondamental. Ils séparent les hommes de l’accès aux biens et aux services par l’argent. Cela nous paraît normal. Pourtant, les dérives actuelles sont les conséquences logiques et directes de ce principe de base. Il agira quelles que soient les modalités que nous pourrons y mettre autour (1).
Ce principe crée un moteur puissant, puisqu’il est à double levier. D’un côté, il énonce que si vous n’avez pas d’argent, vous n’avez accès à rien, et vous n’avez rien. Nos besoins fondamentaux tels que manger, s’hydrater, se loger ne sont plus accessibles. De ce principe de base naît aussi le versant opposé : plus vous avez de l’argent, plus vous avez de possibilités. Nous avons ainsi deux forces concourant à nous diriger individuellement dans une direction unique : faire de l’argent.
Les dangers du système monétaire :
De ce moteur, issu du principe originel de l’argent, ressortent deux caractéristiques fondamentalement néfastes :
- c’est un moteur prioritaire car il est la base incontournable de tout accès. De ce fait, pour de nombreuses personnes, de nombreuses circonstances, et de nombreuses raisons, il sera privilégié à des fondamentaux (écologie, bien-être, entente, qualité, santé, sécurité, etc.).
- c’est un moteur individuel. Il résonne directement avec notre individualité, puisque chacun devra trouver sa propre source monétaire. Ce moteur, redoutablement puissant, est en dehors d’une incitation solidaire et égalitaire. Enfin, l’argent disponible fonctionne par vases communicants, ou comme un gâteau que l’on se divise. Ce qui en conséquence, nous place d’emblée dans une position de concurrence.
Les conséquences du système monétaire :
Partant de là, toutes les dérives de notre société actuelle sont parfaitement logiques. Un système monétaire incitera avant tout à faire de l’argent, par tous les moyens, bons ou mauvais (réseaux mafieux, proxénétisme, braconnage, déforestation, etc.). Et aussi à diminuer la qualité de ce que l’on fait pour augmenter les marges. Ce qui revient à scier la branche sur laquelle on est assis (obsolescence programmée, ne pas breveter les traitements qui guérissent). Egalement à épuiser nos ressources pour vendre (croissance). En plus, la mendicité ou la criminalité contraindront ceux qui n’en auront pas. Certains auront des « bons filons ». Ainsi adviendront les disparités, la possibilité de domination ou encore de corruption.
Si nous souhaitons changer de système monétaire et non décider de coopérer librement, nous devrons surajouter un système qui permette (comment ?) de contrôler, surveiller, empêcher efficacement ce que la base même de notre système incite à faire. Un système monétaire est une base sociale dangereuse d’individualisme, de suspicion, de méfiance, d’inégalités, de tensions, de confrontation, de corruption, de criminalité et de toutes les dérives que nous connaissons. Et il restera toujours une base écologique d’épuisement, d’appauvrissement, de pollution et de destruction.
En résumé :
Tout peut paraître permis dans une société non marchande. Mais si tout individu est libre, la communauté dans laquelle il vit l’est aussi. Personne ne peut dominer, aucun service ou bien ne serait accordé sans l’accord de celui qui le fournit. Il devient alors logique de se mettre à un niveau similaire, si on ne veut pas avoir la communauté à dos et pouvoir bénéficier des compétences indispensables des autres. Tous les réseaux mafieux n’ont plus de raison d’exister (comment envisager le concept de proxénétisme par exemple ?), la corruption devient impossible. La croissance infinie et l’épuisement des ressources ne sont alors plus indispensables.
Aucun système monétaire ne peut être garant de dérives humaines. Au contraire, il les incite et les permet quasi toutes. Aujourd’hui, il est aussi facile de le comprendre d’un point de vue théorique, comme de le constater d’un point de vue pratique.
Que faire si un citoyen, en capacité de participer aux efforts collectifs, refuse de le faire ? C’est une question dont nous devrons débattre ensemble. Cependant, voici un angle de vue sur la question.
Nous souhaitons éviter toute mise en place d’un système coercitif. Cependant, si un citoyen décide de ne pas faire sa part, d’autres devront s’en charger, rognant ainsi un peu de leur temps libre et de leur liberté. Afin d’éviter cette situation, nous pouvons miser une partie de la solution sur les nouvelles conditions de « travail » bien plus enthousiasmantes dans un environnement non marchand. En effet, la guerre commerciale fera place aux partages des efforts et des connaissances. L’absence de pression du chiffre ou de l’angoisse d’une crise économique nous apportera un contexte plus serein avec des conditions choisies par les participants. Sans pression salariale incitant à réduire les effectifs, nous pourrions les multiplier et réduire l’effort à son minimum. La peur du licenciement économique disparaît de même en cas d’automatisation d’un secteur. Enfin les relations de travail ne sont plus basées sur la peur de la hiérarchie ni la pression de la compétition mais au contraire, favorisés par la collaboration.
Si l’ensemble de ces nouvelles conditions laissent encore une part de la population en inactivités, nous pourrions agir en se questionnant successivement sur ces points :
1. Améliorer les conditions.
Avons-nous mis en place des bonnes conditions quant à la prise de décision et d’organisation, susceptibles de créer au mieux l’engouement ? Que pouvons-nous encore améliorer ?
2. Est-ce un problème ?
Si tous les participants sont entièrement épanouis et ont accès à leurs besoins, pourquoi s’offusquer que certains ne participent pas ? Rappelons que nous avons traversé des siècles de domination marchande avec des inactifs provoqués par le système lui-même (misère, chômage etc.) sans empêcher le système d’évoluer. Les contraintes sont telles qu’elle incite à démissionner.1
3. Pour quelle(s) raison(s) ne participent-ils pas ?
Avant de se faire sa propre opinion, nous pourrions aller vers eux et comprendre l’objet de ce manque de motivation. Peut-être auraient-ils des idées pour faire évoluer notre organisation. Peut-être souhaitent-ils faire une proposition (par exemple, participer à une activité jugée pénible pour beaucoup, mais à un niveau horaire restreint).
4. Prévenir
Si cela reste problématique malgré les points précédents, nous pourrions leur signaler que beaucoup réduisent leur vie personnelle pour eux et ne le feront plus s’ils ne souhaitent pas aider à la vie sociale. Il sera bon de rappeler qu’ils ont le choix de leurs activités et que les efforts pénibles seront partagés par tous (réduisant ainsi considérablement la volonté d’être inactif).
5. Limiter l’accès
En dernier recours, les participants pourront décider de limiter l’accès (selon les modalités qui auront choisis) ou partager le fruit de leur effort qu’entre participants.
Le niveau 3 de l’ODG (zone de ressources) se charge de la gestion de l’alimentation. Il prend en charge la production, le transport et la distribution de la nourriture. Celle-ci se fera du territoire vers les villes et villages rattachés.
Ensuite, de manière commune et globale, nous pourrons mettre en place un modèle de collecte et de distribution efficace. Chaque secteur pourra ensuite s’adapter à ses spécificités.
Enfin, une coopérative nationale servira à centraliser et exporter les surplus de productions.
Tout d’abord, la compétition financière écartée, chaque secteur (alimentation, enseignement, recherche, santé, etc.) pourra assurer son rôle pour les autres.
Ensuite, nous prendrons des mesures pour permettre l’accès automatique aux biens et services élémentaires. Le raccordement des logements en eau, électricité et services, sera automatique.
Enfin, pour avoir accès à d’autres biens ou services, il suffira d’en faire la demande.
Il existe de nombreux moyens pour répondre à un besoin de bien ou service.
La phase de préparation permettra d’évaluer précisément les meilleures solutions en fonction des situations.
S’adapter, apprendre à le faire soi-même, se regrouper entre intéressés, discuter, échanger avec les citoyens compétents.
Ensuite, les formations n’étant plus payantes, il est facile de faire une reconversion, surtout pour combler le manque d’un métier.
Enfin, l’éducation peut mettre en avant les secteurs en demande pour inciter les étudiants.
Les entreprises ne disparaîtraient pas. Elles deviendraient une propriété commune. Elles seraient gérées par les ouvriers ou tout autre mode d’organisation convenu par l’assemblée à laquelle elles sont rattachés.
Concernant les heures de travail et les obligations qui en découlent, il y a de nombreuses modalités possibles que nous devons définir ensemble.
Le Grand Projet n’a pas vocation à créer « une bible » complète mais juste fournir le livre dans lequel l’humanité pourra rédiger sa propre organisation.
Une entreprise possède un réseau à qui elle peut communiquer et partager sa volonté d’un monde sans argent (ajouter un lien en signature des mails par exemple). Elle peut également communiquer cette décision à tous ses partenaires, collaborateurs et fournisseurs pour les inciter à en faire autant.
Elle peut également inciter ses partenaires à imaginer et anticiper la réorganisation de leurs entreprises sous les avantages d’une organisation non marchande. Pas besoin de secteur marketing, pas de dépôts de brevets, durabilité de ses produits, automatisation possible sans répercussion socio-économique, les concurrents qui deviennent des collaborateurs etc.
C’est un sujet que nous déterminerons ensemble. Redéfinir le rôle et la place de la communication et du marketing dans une société qui n’encouragera plus la consommation.
Ce sujet est complexe. Nous pourrions faire le choix de conserver ces systèmes pour faire par exemple la promotion de produits/services non polluant, inciter à la consommation lors de récoltes abondantes ou mettre en avant des économies non matérialisés (le bonheur, le bien être etc.). De plus, cela permettrait de diffuser massivement des informations de débats important pour l’humanité etc.
On peut voir qu’il reste un bon espoir pour ces secteurs.
Par accord mutuel entre les intéressés :
- Attribution au plus utile (par exemple : un logement de plain-pied pour des personnes âgées ou à mobilité réduite)
- Au plus écologique (à proximité, dans un rayon déterminé)
- Attribution à tour de rôle ou par réservation
- Diviser en parts égales entre les intéressés
- Ne l’attribuer à personne pour conserver une équité
- Par tirage au sort
- Autre
Passer à une société non marchande ne suppose pas de passer à une société sans réglementations. Elles sont utiles, non pas pour réduire nos libertés, mais pour les protéger. Elles peuvent être d’ordres sécuritaires (interdiction de nuire à l’intégrité physique ou morale d’autrui). Aussi, elles peuvent s’avérer nécessaires pour assurer le partage des ressources et l’application des modalités convenues ensemble. L’un des avantages du Grand Projet est qu’elles sont proposées et validées par les citoyens (Voir ODG).
Dans tous les cas de figure et dans tous les modèles de société possibles, il y aura des désaccords.
Dans l’ODG, ce n’est pas une minorité qui décide, ni la majorité mais la recherche d’un consentement. Chaque assemblée est libre de sa propre réglementation. Elle le fait dans les choix qui la concerne, pas dans ce qui concernerait d’autres assemblées.
Dès lors qu’une ou plusieurs autres assemblées sont concernées par un choix (qui est donc un choix commun) un débat avec recherche du consentement est la meilleur voie pour trouver une entente satisfaisant le plus grand nombre.
La carte d’identité est un sujet qui sera soumis aux choix des citoyens. Un débat peut être organisé selon des méthodes de débats objectives et impartiales que les citoyens auront validés.
L’objectif étant de mettre en évidence les différentes faces d’un sujet de manière objective pour que chacun puisse faire un choix en connaissance de cause.
En effet, différents points de vues sont à prendre en compte :
Certains vont vouloir tout simplement ne plus avoir de carte d’identité, d’autres la voudrons avec une traçabilité pour par exemple avoir une prise en charge instantanée des soins sans paperasse préalable ou examens (dossier médical intégré) etc.
Les avantages et les inconvénients doivent être débattus avant validation collective.
Enfin, une carte serait utile pour connaître l’activité (dans l’organisation), le partage et la consommation. Difficile d’avoir une gestion précise de notre organisation et des ressources sans cela.
À quoi peut ressembler une société sans argent ?
O meio ambiente em uma sociedade sem dinheiro
Serviço de gerenciamento de recursos.
O estabelecimento de um serviço de gestão de recursos garantirá uma gestão e alocação eficazes. Na verdade, as criações humanas devem garantir as necessidades presentes sem comprometer a Terra e nossas gerações futuras.
O departamento de equilíbrio do clima.
Posteriormente, um departamento de equilíbrio climático também poderia ser criado. Para estudar como a atividade humana pode ser benéfica ao clima, para reverter a tendência. Para amelhorar o clima e aumentar as áreas habitáveis na Terra.
Preservar um clima favorável ao maior número de pessoas, com um mínimo de desastres naturais.
Na verdade, uma maior área de vida no planeta contribui para o tampão demográfico (mais lugares para mais pessoas).
Desenvolvimento sustentável generalizado.
Além disso, o setor industrial integrará de forma abrangente o desenvolvimento sustentável.
Além disso, por meio do compartilhamento de conhecimento, a qualidade dos bens e serviços se desenvolverá rapidamente. Especialmente porque a recolocação para explorar mão-de-obra barata não será mais uma opção. Além disso, o inventário de recursos e a logística de distribuição global reduzirão consideravelmente as emissões de gases de efeito estufa.
Finalmente, as ações de transição já em andamento (plantações de árvores, permacultura, energias renováveis) se desenvolverão mais rapidamente.
A economia em uma sociedade sem dinheiro
Liberdade de empreendimento.
Bem-vindo a uma empresa que, enfim, lhe oferece todos os meios para florescer. Não só treinamento em ferramentas de produção, mas também do início ao fim.
Além disso, não há mais necessiade de temer a competição e o desemprego. Além disso, chega de tentar vender e muito menos vender sempre mais! Da mesma forma, podemos ver daqui a mudança nas relações profissionais entre os colaboradores. Além disso, os encargos administrativos de que o sistema financeiro necessita para funcionar serão consideravelmente reduzidos e centrados na logística. Por conseguinte, isso economizará tempo de maneira significativa para empresas e indivíduos. Enfim, sem dinheiro, cada um faz o trabalho de sua escolha por prazer, levando a um resultado muito melhor.
O fim da fraude
Além disso, com o fim do dinheiro, chega de golpes gananciosos. Chega de medo de ser roubado por comprar ou assinar isso ou aquilo. Além disso, você não precisa mais saber se está fazendo um bom negócio ou não com este objeto.
Viver em abundância em uma sociedade sem dinheiro
Na verdade, a única pergunta a fazer será:
“Eu realmente preciso disso?”
Se esse simples raciocínio do consumidor for ensinado na escola, a humanidade poderá viver confortavelmente.
Além disso, sem competição é possível dar um grande salto em termos de industrialização. Isso nos permite aumentar ainda mais nossa atual capacidade de produção, ao mesmo tempo em que amelhoramos a eficiência dos sistemas. A consequência será produzir mais do que hoje e consumir recursos de forma sustentável.
A ciência em uma sociedade sem dinheiro
A ciência se tornará “open source”, permitindo assim o compartilhamento e a disseminação do conhecimento para todos.
Uma revolução científica
Primeiro, as principais repercussões ocorrerão no que diz respeito à taxa de evolução da ciência. Na verdade Derek Price, o pai fundador da cienciometria, nos ensina que a ciência evolue exponencialmente. Nesse sentido, a atual revolução digital é um exemplo perfeito. Entretanto, apesar dos numerosos obstáculos, como os pedidos de patentes, a União Européia ainda não conseguiu atingir seus objetivos. Imagine que impacto teria se o conhecimento estivesse disponível para todos amanhã?
Os gênios de amanhã
Como resultado, o livre acesso à informação permitirá a revelação do potencial humano.
O que, por sua vez, irá enriquecer a herança de nosso conhecimento.
A inovação em uma sociedade sem dinheiro
Em primeiro lugar, em uma sociedade sem dinheiro, todos os centros de pesquisa e desenvolvimento poderão colaborar em projetos comuns.
Então imagine os engenheiros mais criativos trabalhando juntos na inovação: qual seria o próximo smartphone?
Da mesma forma, o que dizer do carro de amanhã se fabricantes de 5 continentes reuniram seu know-how?
Finalmente, quais seriam as inovações se os membros de cada setor (saúde, habitação, energia, agricultura, etc.) compartilhassem seus conhecimentos?
A revolução da inovação
Para começar, o autor do Relatório Brundtland (14) , encomendado pela ONU e que hoje é considerado histórico, ficaria encantado.
De fato, uma sociedade sem dinheiro seria muito propícia a liberar a inovação de suas cadeias para atender às necessidades do desenvolvimento sustentável.
Como resultado dos fatores colaborativos mencionados acima, a capacidade de inovações ambientais seria multiplicada por dez. O mesmo se aplica a produtos, processos, técnicas ou modos de organização. Além disso, sem dinheiro, é mais fácil ajustar o padrão de uma empresa. Para finalizar, o compartilhamento do conhecimento possibilitará a rápida disseminação das inovações.
Emprego e automação em uma sociedade sem dinheiro
O emprego em uma sociedade sem dinheiro.
Em primeiro lugar, é preciso dizer que 375 milhões de pessoas serão obrigadas a mudar de emprego até 2030. (15). Hoje, isso representa o mesmo número de desempregados e vidas em situação precária. Pelo contrário, em uma sociedade sem dinheiro, só será benéfico para a humanidade. Além disso, ter uma máquina substituída só será uma vantagem em uma sociedade sem dinheiro.
Automação em uma sociedade sem dinheiro.
Em muitos casos, o trabalho humano polui mais do que o executado pelas máquinas. De fato, isto será ainda mais reconhecido quando os engenheiros tiverem otimizado os sistemas automáticos para torná-los mais eficientes do que nunca. Além disso, quer se trate de uma indústria de baixa ou alta tecnologia, a automação tem muitas vantagens. Seja sua produtividade que não precisa mais ser demonstrada, seja o tempo que ela libera para os humanos.
Por fim, o desafio é orientar a automação nos setores mais importantes. Isto é, em termos de ecologia, condições de trabalho e dificuldades.
Pandemia e crise sanitária em uma sociedade sem dinheiro
A questão da gestão de crises sanitárias e vacinas, que são atualmente objeto de controvérsia, também seria bem diferente. De fato, em uma sociedade sem dinheiro, o confinamento não prejudica a economia ou seus habitantes. Pelo contrário, a população está protegida, sem criar mais danos colaterais.
Da mesma forma, em um mundo sem dinheiro, a questão da vacinação não geraria mais desconfiança. Na verdade, os laboratórios não fabricariam mais vacinas e medicamentos por dinheiro, mas apenas para o bem-estar dos humanos.