À propos du Grand Projet

Qui sommes-nous ?

En premier lieu, nous sommes des citoyens ordinaires et nous n’appartenons à aucun parti politique.

En outre, nous pensons que l’argent est inutile, voire contraire à un monde meilleur.

De plus, une société de partage mettrait fin à nos problèmes les plus profonds, de notre vie quotidienne jusqu’à la préservation de la Planète.

Cela en engendrerait-il de nouveaux ? Certainement pas.

Pour le MOCICA, nous n’y voyons que des solutions.

Jean Philippe :

“Dans une situation de crise je m’impose 2 règles :
Premièrement, analyser toutes les options.
Ensuite, n’en écarter aucune en me basant sur des a priori.
Pourtant, de toutes, supprimer l’argent me paraissait la plus folle au début, et la plus incontournable au final.
En fait, ma démarche n’était pas de trouver une porte de sortie.
Mais l’analyse approfondie de cette option faisait apparaître un plan d’action à la hauteur, selon moi, de tous les enjeux de notre époque.”

Jean Philippe HUBER, Fondateur du MOCICA.
Hugo :

“D’abord, je ne sais pas comment dire que ce projet tombe sous le sens. En effet, se libérer des dérives de l’argent, du poids mental qu’il représente et résoudre de nombreux problèmes de la société actuelle, juste en adhérant au projet…  En fait, il y a bien longtemps que je n’en ai pas eu autant pour si peu.

De surcroît, une fois évacuées les questions qui semblent bloquer le chemin d’un monde sans argent, on découvre un univers riche de nouvelles possibilités, pour le bien être de tous.

Pour terminer, contribuer à la co-création est fort stimulant.”

Hugo, Co-organisateur.
Jean Baptiste :

“D’abord quand mon frère JP m’a parlé de son projet Mocica, il n’a pas eu besoin d’argumenter. En fait, j’étais tout de suite d’accord, ça m’est apparu comme une évidence ! Et ça tombait bien, car en plus il avait besoin d’un informaticien.”

Jean Baptiste, Webmaster.
Stéphanie :

“Ce projet m’a redonné espoir. J’ai la certitude absolue qu’ensemble nous pourrions changer, cesser d’être les esclaves d’un système écrasant. Maintenant je vois la lumière dans un tunnel qui était auparavant sombre.”

Stéphanie, Traductrice.
Sonia :

“La relation marchande tout d’abord, quelles que soient ses modalités (utilisation d’une monnaie, troc, système d’échange local, jardin d’échange universel, etc.), a inévitablement un effet délétère sur la justesse de ce que je donne et reçois.
Inappropriée à la santé du vivant et en plus, basée sur le chantage et le mérite pour vivre, elle est manifestement rabat-joie !
Construction humaine, elle est interrogeable et révocable.
En conclusion, je contribue au MOCICA, pour remédier à cette calamité.”

Sonia, Relations membres.
Laurent :
“Dès cette crise du COVID, beaucoup de personnes (y compris Emmanuel Macron, à sa manière) se sont mises à parler du “Monde d’Après”. Quelques vidéos TedX plus tard, arrivent deux vidéos de Jean-Philippe Huber. J’ai d’abord été sensible à sa conviction, aux arguments qu’il avançait de façon très posée, avec humilité et humanisme.
J’ai donc lu, écouté et regardé tout ce qui se trouve sur le site du MOCICA. En fait, cela correspondait complètement à la façon dont j’imaginais le monde sans argent. À la suite de quoi j’ai adhéré sans hésiter. C’est la raison pour laquelle à ma mesure, je fais de mon mieux pour contribuer à accélérer le mouvement vers une civilisation post monétaire.”
Laurent, Communication.
Alexandre :
“Lorsque l’on discute entre amis et que l’on refait le monde, l’un des sujets récurrents  est l’argent. Et bien souvent on en vient à la conclusion que c’est la source de presque tous les problèmes de notre société. En lisant ce projet j’ai pu apercevoir à quel point ce serait simple de s’en passer et de devenir ainsi de meilleurs êtres humains.”
Alexandre, Acteur du changement.
Sophia :
“Il me semble que nous sommes à une période charnière de l’histoire de l’humanité : la crise est globale, elle se situe à tous niveaux. Ce qui me touche personnellement, c’est la destruction du Vivant. Le mot “crise”, en chinois, est composé de deux caractères qui signifient respectivement “danger” et “opportunité”. Avec le MOCICA, nous pouvons, tous ensemble, saisir cette opportunité de changer radicalement de système : passer d’un système délétère où on ne pose finalement que des rustines sur les problèmes, à un système sain et harmonieux où la racine de ces mêmes problèmes est éliminée. C’est la raison pour laquelle j’adhère et œuvre pour ce mouvement.”
Sophia, Relations membres.
Gianni :

“Pour commencer, l’idée est présente depuis mon plus jeune âge ! En fait, mes parents étaient déjà convaincus qu’une organisation collective non monétaire, était l’avenir de notre société mondiale. Jusqu’alors j’en étais à attendre ce monde. De ce fait, depuis un an maintenant, j’agis en « éduquant » sur les problèmes du système actuel et la solution que représente une économie non monétaire. L’objectif pour moi, est en fait que la transition se fasse en connaissance de cause aux yeux de tous, que l’on soit prêts.”

Gianni, Communication.
Didier :

“Pour commencer, j’ai compris très vite que le problème de ce monde n’était pas tant un problème de personne qu’un problème de système.
En fait, les gens changent, le système reste. Il faut le réinitialiser. L’argent n’incite pas à la corruption, en effet, l’argent est la corruption.”

Didier, Consultant communication.

Notre mission

Le MOCICA (Association loi 1901) propose un projet de transition vers une société du partage (un monde sans argent.).
En somme, notre groupe de réflexion a pour mission d’éclairer le débat public sur la transition mondiale.
Ceci en effet, au travers de sujets majeurs tels que l’environnement, l’économie, l’humain, la société et son organisation.

Notre action s’organise de ce fait autour de 3 axes :

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